Le duel fratricide final qui n'en reste pas moins mémorable opère un crescendo de défiguration jusqu' à un certain apogée gore par l'alternance répétitive de champ-contrechamp. Cette transformation de la chair (thème fétiche à Cronenberg), répercussion somatique résultant de l'agitation psychique, traduit une plasticité clinique de rigueur qui résume l'art de son auteur: rendre visible ce qui est invisible, figurer l'infigurable.
思路乐
2020-08-26 21:54:41